Investigación económica y análisis de políticas comerciales
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Framework for Counterfactual Experiments on Trade Finance Costs
The costs of financing international trade are an important component of total trade costs. This annex contains a description of the determination of financing costs based on the survey and data in the literature and the calculation of counterfactual financing costs. Furthermore, details of the employed WTO Global Trade Model are provided.
Executive Summary
Trade is an important component of economic activity in Africa, equivalent to around 50 percent of the continent’s gross domestic product (GDP), according to the World Bank. The four largest economies of the Economic Community of West African States, namely Côte d’Ivoire, Ghana, Nigeria, and Senegal—which we refer to as the ECOWAS4—traded $208 billion in goods and services during 2021, representing between 25 percent and 63 percent of GDP.
Robustness Checks
A range of robustness checks was conducted to confirm the validity of our analysis. The construction of baseline trade finance costs is based on a careful analysis of the available data, as presented in Annex 3 describing the conceptual framework for the counterfactual experiments. However, two assumptions had to be included with little guidance in the actual data. Therefore, robustness checks are included on these two assumptions.
Conclusions
Côte d’Ivoire, Ghana, Nigeria, and Senegal—the ECOWAS4—are making progress in integrating their economies internationally through trade. The number of firms participating in international markets is growing, and exporters are becoming more competitive, expanding into new products, and reaching new destinations. Potential regional integration associated with the AfCFTA will further support these positive trends and create new opportunities to leverage trade for development.
Recomendaciones
En esta sección se formula un conjunto de recomendaciones relativas a la introducción y la intensificación del uso de tecnologías por parte de las aduanas. Estas recomendaciones fueron hechas por las administraciones de aduanas, el sector privado y el mundo académico en debates celebrados en diferentes ocasiones en los últimos cuatro años, como el período de sesiones de octubre de 2017 del Comité Técnico Permanente, el diálogo anual celebrado entre el Grupo Consultivo del Sector Privado y la Comisión de Cuestiones Normativas en junio de 2018, las Conferencias sobre Tecnología de la OMA y los talleres regionales sobre tecnologías disruptivas celebrados en 2021 y 2022, el taller de investigación de la OMC de 2018 y los Foros sobre el Comercio Mundial y la Cadena de Bloques de 2019 y 2021.
Conclusion
Les constatations du Rapport d’étude et les cas pratiques fournis dans l’Annexe témoignent d’un grand intérêt et d’un niveau d’activité soutenu au sein des administrations des douanes pour tester et mettre en oeuvre ces trois groupes de technologies en particulier. Plus de la moitié des membres ayant répondu à l’Enquête annuelle consolidée 2021 de l’OMD utilisent déjà l’IdO, l’IA et l’apprentissage automatique, tandis que deux membres seulement déploient, actuellement, la technologie de la chaîne de blocs. Les informations concernant les nombreux projets pilotes et démonstrations de faisabilité, partagées par les membres témoignent de leur grand intérêt pour développer l’utilisation de ces technologies et de leur confiance dans les avantages que ces technologies procureront aux administrations des douanes pour atteindre leurs objectifs et soutenir le commerce transfrontalier.
Antecedentes
Sobre la base de la propuesta presentada por los delegados del Comité Técnico Permanente (PTC) de la OMA, el debate en torno al tema del Futuro de las Aduanas se inició en el 207º/208º período de sesiones del PTC celebrado en marzo de 2015. La idea surgió en el marco de los debates sobre la función del PTC, en los que se acordó que el Comité examinaría de manera más activa cuestiones estratégicas y temas orientados al futuro.
Introduction : Technologies de rupture… ou (simplement) émergentes ?
Qu’entendons-nous exactement par « technologies de rupture » ? Selon le Cambridge Dictionary, une technologie de rupture est une nouvelle technologie qui modifie complètement la façon de faire les choses. Bien que nous ne puissions savoir avec certitude quelles technologies accompliront cette tâche à l’avenir, la société a largement accepté depuis quelques années que le terme « technologies de rupture » se réfère aux chaînes de blocs, à l’Internet des objets, à l’intelligence artificielle, à la réalité virtuelle, aux drones, à l’impression en 3D et d’autres technologies de pointe, dont traite le présent rapport d’étude.
Utilisation holistique des technologies pour la douane intelligente du futur
2021 a mis en lumière le rôle critique des administrations des douanes pour le déroulement du commerce mondial. Pour rendre les chaînes logistiques mondiales du futur plus efficaces, la douane intelligente doit parvenir à réduire le délai et le coût du dédouanement tout en gérant intelligemment les flux de marchandises et de véhicules à l’entrée et à la sortie. Les technologies de rupture telles que les dispositifs IdO permettent de rendre des équipements autonomes pour assurer un suivi efficace du fret et la traçabilité des itinéraires.
Conclusión
Las constataciones del Informe de estudio y los estudios de casos que se incluyen en el anexo reflejan un alto grado de interés y actividad de las aduanas respecto de las pruebas y la aplicación de tres grupos de tecnologías en particular. Más de la mitad de los miembros que respondieron a la Encuesta Anual Consolidada de la OMA de 2021 ya están utilizando la IdC, la inteligencia artificial y el aprendizaje automático, mientras que actualmente solo dos están usando la tecnología de cadena de bloques. La información sobre numerosos proyectos piloto y pruebas de concepto difundida por las administraciones de aduanas y otras partes interesadas pone de manifiesto el interés por ampliar la utilización de estas tecnologías, así como la certeza de que serán beneficiosas para que las aduanas logren sus objetivos y respalden el comercio transfronterizo.
Remerciements
Le Rapport d’étude sur les technologies de rupture actualisé (2022) est le fruit d’un effort collectif des Secrétariats de l’Organisation mondiale des douanes (OMD) et de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) en étroite collaboration avec les administrations des douanes membres, les représentants du secteur privé et d’autres parties prenantes. Ce rapport a été préparé par Milena Budimirovic, Özlem Soysanlı, Vyara Filipova et Lesego Mmolai de l’OMD, et Emmanuelle Ganne et Sheri Rosenow de l’OMC. Zakaria Imessaoudene, de l’OMD, a également contribué aux travaux de recherche.
Recommandations
Cette section présente une série de recommandations concernant l’introduction et la mise en oeuvre progressive des technologies par la douane. Ces recommandations ont été formulées par la douane, le secteur privé et le milieu universitaire lors d’échanges de vues, organisés à différentes occasions, au cours des quatre dernières années, notamment lors du Comité technique permanent d’octobre 2017, du dialogue annuel entre le Groupe consultatif du secteur privé et la Commission de politique générale en juin 2018, des conférences technologiques de l’OMD et des ateliers régionaux sur les technologies de rupture tenus en 2021 et 2022, de l’atelier de l’OMC sur la recherche de 2018 et des forums sur le commerce mondial et la chaîne de blocs de 2019 et 2021.

