Development and building trade capacity
Le développement du commerce électronique en Chine et la pertinence des politiques
La valeur en dollars des transactions électroniques effectuées en Chine a considérablement augmenté au cours des 20 dernières années notamment grâce à l’amélioration des infrastructures à la croissance rapide de la téléphonie mobile et à l’accroissement des financements. Le marché se caractérise également par une diversité croissante notamment à la lumière de l’accroissement des services médicaux électroniques de l’expansion du commerce électronique transfrontières et du développement des transactions en ligne à hors ligne. Le gouvernement national de la Chine a joué un rôle important dans le développement du commerce électronique grâce à l’élaboration de politiques dans le cadre de plans quinquennaux tandis que les gouvernements régionaux ont quant à eux participé à la planification et à l’ajustement du cadre de la politique relative au commerce électronique en fonction de la situation locale.
Technical assistance activities of the WTO
The WTO supports African countries’ capacity-building needs through its technical assistance (TA) programme. In 2019 the WTO continued to enhance human and institutional capacity development on multilateral trade issues in Africa through the biennial Training and Technical Assistance Plan (TA Plan). The TA Plan is the framework that identifies priorities and mechanisms for implementation of TA activities sources of funding and anticipated results. African countries are accorded priority in the implementation of many of the traderelated technical assistance activities.
La participación en la economía digital: cuestiones y programa para la adopción de la hoja de ruta para el comercio electrónico en Indonesia
En el presente estudio se analizan las cuestiones estructurales y prácticas planteadas por la adopción de la hoja de ruta para el comercio electrónico de Indonesia (2017-2019) y sus implicaciones para el futuro de la economía digital de este país. Se examinan dos categorías principales de cuestiones a fin de determinar los problemas y retos con que se enfrentan en cada caso las partes interesadas. La primera categoría a saber la de las cuestiones estructurales se enmarca en el contexto más amplio de la gestión de la economía digital nacional con la que están relacionadas las actividades de comercio electrónico. El contexto de la gobernanza abarca el marco jurídico y reglamentario el mecanismo de institucionalización y las fases de aplicación que comportan interacciones socioeconómicas y político-económicas entre los principales agentes. La segunda categoría abarca las dimensiones prácticas a saber cuestiones relacionadas con la mitigación y la adaptación a conceptos modelos y prácticas de la economía digital. Se presentan la posición de Indonesia con respecto a la moratoria relativa al comercio electrónico y las iniciativas locales en materia de economía digital para ilustrar los esfuerzos de mitigación de las partes interesadas en ámbitos en que ha habido discrepancias y negociaciones sobre determinadas cuestiones de política estructurales y prácticas es decir la posición de Indonesia sobre la moratoria de la Organización Mundial del Comercio (OMC) relativa al comercio electrónico e iniciativas locales (como las adoptadas en Yogyakarta) para el desarrollo de una economía digital.
The environmental dimension of trade in the SDGs
Achieving better economic growth and better environmental outcomes is an indispensable condition for achieving the SDGs. If economic growth continues along its current environmentally unsustainable trajectory the world risks compromising the prospects for future growth and human well-being and even undoing much of the progress made on both fronts during the past 50 years according to an OECD study. Forests wetlands and other forms of “natural capital” which make up almost 40% of the total wealth in developing and least-developed countries are under increased pressure due to air water and soil pollution along with rising greenhouse gas emissions says a recent World Bank report.
Trade openness and the broader socio-economic context
Section C showed how fundamental economic factors – demography investment technology natural resources transportation and institutions – can affect the future of trade. But trade takes place within a broader socio-economic context. This context matters for trade and trade policy. Historically social and macroeconomic concerns have repeatedly influenced decisions in trade policy matters. Section B of this report provided examples of such situations. Both themes are currently high on the political agenda and will undoubtedly affect policy-makers’ views and positions in the area of trade reform in the future. A third factor relates to environmental concerns an issue that has rapidly been gaining prominence in the national regional and global policy debate. It has also been repeatedly linked to trade notably in the context of a number of high-profile WTO disputes in the context of regional trade agreements and as an element of the on-going Doha Development Agenda.
La era del comercio digital - Oportunidades y desafíos para los países en desarrollo: el caso de Kenya
El comercio electrónico ha experimentado un rápido crecimiento en Kenya apoyado por las leyes que regulan los servicios de tecnología de la información y las comunicaciones (TIC) las transacciones de comercio electrónico la protección de datos y el acceso a la información. El Gobierno ha creado ventanillas únicas para la prestación de servicios públicos a los ciudadanos y para la logística comercial. El país está bien posicionado para ampliar su comercio digital con la creación de la Zona de Libre Comercio Continental Africana AfCFTA) habida cuenta de las políticas esbozadas en el Plan para la Economía Digital del Gobierno. El crecimiento del comercio digital ofrecerá nuevas oportunidades para la prestación de servicios en línea promoverá la diversificación de las exportaciones impulsará la eficiencia y el crecimiento en el sector manufacturero mejorará la competencia en el sector financiero aumentará el acceso a información relacionada con los mercados e incrementará el acceso de las microempresas y las pequeñas y medianas empresas (mipymes) a los mercados. Sin embargo el potencial del comercio digital está limitado por la falta de acceso a servicios financieros los bajos ingresos una escasa cobertura de la banda ancha y de la fibra una mala infraestructura de transporte y déficits de competencias. El marco jurídico y reglamentario de Kenya es insuficiente para ofrecer protección contra la ciberdelincuencia garantizar la privacidad apoyar la interoperabilidad de las plataformas móviles para la transferencia de dinero y los bancos promover la confianza de los consumidores en las transacciones en línea proteger la propiedad intelectual y proteger los sitios digitales de las responsabilidades derivadas de lo que publican los consumidores.
Le commerce international basé sur la chaîne de blocs : un moyen de promouvoir l’autonomisation économique des femmes ?
La technologie de la chaîne de blocs est extrêmement prometteuse pour ce qui est de promouvoir la participation des femmes au commerce international. L’anonymat offert par la chaîne de blocs et son efficacité pourraient permettre à de nombreuses femmes qui seraient sinon freinées par la législation les formalités douanières ou l’importance des coûts de réaliser des transactions financières et commerciales. La chaîne de blocs peut être utilisée pour permettre à des femmes dépourvues de documents d’identification de procéder à des transactions qui autrement nécessiteraient une identification officielle et de prouver qu’elles sont propriétaires d’actifs sans l’intervention d’un homme de leur famille. La chaîne de blocs peut aider les micro petites et moyennes entreprises (MPME) dont plus de 30% sont détenues par des femmes à faire face aux coûts associés à l’exportation et l’importation ainsi qu’à interagir aisément avec les consommateurs les autres entreprises de la chaîne d’approvisionnement les agents des douanes et les organismes réglementaires. Par ailleurs elle peut permettre aux agricultrices d’obtenir plus facilement des renseignements sur les cultures et l’état du marché et d’améliorer ainsi leur position de négociation. Cependant en l’absence d’une réglementation appropriée l’utilisation accrue de la chaîne de blocs pourrait aussi augmenter le rendement relatif des compétences technologiques sophistiquées que les hommes ont plus de chances de posséder et creuser le fossé numérique entre les hommes et les femmes. L’Organisation mondiale du commerce (OMC) pourrait jouer un rôle essentiel en élaborant des lignes directrices sur l’utilisation de la chaîne de blocs dans le commerce international afin de soutenir l’adoption efficace et inclusive de la technologie de la chaîne de blocs.
L’OMC et les pays en développement
Cette section examine plusieurs caractéristiques de l’OMC qui aident à soutenir le développement et explique leur logique économique. Elle se divise en quatre sous-sections. La première sous-section montre comment l’OMC a aidé les pays en développement à gérer les défis liés aux quatre tendances décrites dans les sections précédentes et à en tirer parti. La deuxième examine du point de vue économique l’importance des engagements et des flexibilités prévus dans les accords commerciaux pour le développement. La littérature économique démontre que les règles et les disciplines de l’OMC favorisent la croissance en instaurant l’environnement prévisible dont les entreprises ont besoin pour prospérer. Dans le même temps elle justifie l’existence des flexibilités y compris le traitement spécial et différencié par les dysfonctionnements du marché et par le fait que les Membres de l’OMC n’ont pas tous la même capacité de mise en oeuvre des obligations. La troisième sous-section décrit les règles et disciplines spécifiques qui s’appliquent expressément aux pays en développement. La quatrième et dernière sous-section décrit les mécanismes institutionnels qui intéressent tout particulièrement les pays en développement Membres.
Foreword
In 2015 the World Bank and the World Trade Organization published a flagship report on the role of trade in the effort to end poverty by 2030. Over the past three years the two organizations have collaborated in various ways to advance that goal from supporting implementation of the WTO Trade Facilitation Agreement; to assisting the poor including women and small-scale traders to take advantage of trade opportunities; to supporting trade reforms in the world’s poorest countries.
The digital trade era – opportunities and challenges for developing countries: the case of Kenya
E-commerce has grown rapidly in Kenya supported by laws governing information and communications technology (ICT) services e-commerce transactions data protection and access to information. The government has established one-stop shops for the provision of government services to citizens and for trade logistics. The country is well positioned to expand its digital trade with the establishment of the Africa Continental Free Trade Area (AfCFTA) given the policies outlined in the government’s Digital Economy Blueprint. The growth of digital trade will open up new opportunities for the provision of online services promote export diversification boost efficiency and growth in manufacturing improve competition in the financial sector increase access to market-relevant information and increase market access for micro small and mediumsized enterprises (MSMEs). However the potential of digital trade is constrained by lack of access to financial services low income limited broadband and fibre coverage inadequate transport infrastructure and skills gaps. Kenya’s legal and regulatory framework is insufficient to protect against cybercrime ensure privacy support the interoperability of mobile money platforms and banks promote consumers’ trust in online transactions protect intellectual property and protect digital sites from liability for customers’ posts.
Executive summary
Over the past decade world trade has expanded signifi cantly. By 2007 global trade had reached more than 60 per cent of world GDP compared with less than 30 per cent in the mid-1980s. Few would contest that increased trade has contributed to global growth and job creation. However strong growth in the global economy has not so far led to a corresponding improvement in working conditions and living standards for many. Absolute poverty has declined thanks to the economic dynamism of recent years the efforts of private companies migrant workers and their remittances and the international development community. Nevertheless in many instances labour market conditions and the quality of employment growth have not improved to the same degree. In many developing economies job creation has mainly taken place in the informal economy where around 60 per cent of workers fi nd income opportunities. However the informal economy is characterized by less job security lower incomes an absence of access to a range of social benefi ts and fewer possibilities to participate in formal education and training programmes – in short the absence of key ingredients of decent work opportunities.
Data regulation in trade agreements: different models and options ahead
“Data is the new oil”. Just like oil which powered the economy in the last century data are what moves the world today. This is especially true for international trade. The crucial role played by data can be observed at every step of the process from the conception of a new product and the sourcing of raw materials and parts to the manufacturing process and the transportation of products across borders until they finally reach the hands of consumers from every corner of the world.
Acknowledgments
The Global Value Chains Development Report is a joint publication of the World Trade Organization (WTO) the Institute of Developing Economies (IDE–JETRO) the Organisation for Economic Co-operation and Development (OECD) the Research Center of Global Value Chains (RCGVC-UIBE) the World Bank Group and the China Development Research Foundation based on joint research efforts to better understand the ongoing development and evolution of global value chains and their implications for economic development.
Driving Economic Growth through Trade Policy Reforms and Investment Attraction in the Open World Economy: The Experience of China
China achieved a great leap forward in its economic development in the last thirty years supported by profound trade policy reforms significant infrastructure investment and utilization of foreign capital under the overarching state policy of reform and opening-up. Shares of manufactures and services in production have kept increasing and remarkable export performance has been scored during this period. Additions of labour and capital as well as competitive costs have largely shaped the economy’s comparative advantages up to now and they are likely to be replaced by increasing domestic consumption productivity growth and a greater reliance on services as the main factors sustaining future economic growth albeit at a slower pace. Nonetheless opening-up and domestic policy reforms going hand-in-hand will continue to play a critical role. The question that this paper addresses from China’s perspective may serve as a reference for the African economies seeking to establish a strong manufacturing base and to realise economic take-off with the help of a clear opening-up strategy and a proper trade policy toolkit.
Rôle nouveau des produits de base dans les stratégies de développement
Cette section examine les défis et les possibilités inhérents aux stratégies de croissance et de développement fondées sur les produits de base dans le contexte de prix relativement élevés mais volatiles. Elle présente d’abord un aperçu de l’évolution historique des prix des produits agricoles et des ressources naturelles. Puis elle analyse la façon dont les pays en développement sont arrivés à exploiter leur potentiel d’exportation de produits agricoles et de ressources naturelles dans ce contexte de prix élevés pour asseoir leur développement. Elle met en évidence les politiques qui ont été utiles mais aussi les défis qui restent à surmonter pour réaliser pleinement ce potentiel d’exportation. Enfin elle examine les problèmes posés par une volatilité accrue notamment pour les pays importateurs de produits alimentaires et pour les pays exportateurs de ressources naturelles vulnérables aux cycles d’expansion et de récession.
Conclusions
Le tout premier Rapport sur le commerce mondial publié en 2003 portait sur le commerce et le développement. Examinant le lien économique entre ces deux domaines les auteurs cherchaient à savoir comment le Cycle de Doha – lancé à peine deux ans plus tôt – pouvait stimuler le développement.
Conclusions
This report has examined the forces that will shape the future of world trade. These forces are complex and numerous. They interact with trade itself and with each other as well as being influenced by government policy. One thing seems clear: the landscape and nature of world trade are changing fast. As trade evolves new policy challenges will arise. If properly managed international trade will further increase prosperity around the globe. What are the main issues therefore that policy-makers need to take into account?
Glass Barriers: Constraints to Women’s Small-Scale,Cross-Border Trade in Cambodia and Lao PDR
Border checkpoints in developing countries often teem with traders transporting small quantities on foot or pushing carts alongside trucks that sport the insignia of formal companies. Those small-scale cross-border traders may eventually be superseded by larger import-export firms. But during the process of development their trade may be a valuable avenue for poverty alleviation and women’s empowerment. This chapter focuses on the latter in the context of small-scale cross-border trade in Cambodia and Lao People’s Democratic Republic (Lao PDR). It analyzes recent survey research undertaken by the World Bank and draws conclusions about the key policy implications for facilitating the poverty-reducing impact of women’s participation in small-scale cross-border trade.